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6 mai 2024 09:53 - C!Mag
Depuis sa création en 2012, le fournisseur du Val-d’Oise accorde une importance fondamentale au marquage. Année après année, son atelier de production n’a cessé d’évoluer et de s’étendre, en accueillant toutes les dernières solutions d’impression. Une force de frappe considérable qui permet à Cadoa d’assurer des délais de livraison éclairs, notamment pour ses objets média made in France, qui ne cessent de prendre de l’importance au sein de son catalogue. Sur les 1 500 m2 occupés par Cadoa à Cormeilles-en-Parisis (Val-d’Oise), 1 300 sont dévolus au marquage. Et sur les 25 collaborateurs de l’entreprise, les deux tiers officient à l’atelier. Ces chiffres donnent une idée de la formidable force de frappe de l’entreprise en termes de personnalisation. Grâce à cet atout, Cadoa se montre en capacité de livrer rapidement ses clients, parfois même sous 24 heures, en fonction du produit, de la quantité et du type de marquage utilisé. « La réactivité est inscrite dans notre ADN, souligne Olivier Doh, co-fondateur et président de l’entreprise. Rien n’est impossible pour nos équipes et nous sommes très vigilants sur le respect des délais de livraison. Le contrôle de cette problématique est facilité grâce à notre stock important et à la présence de notre atelier d’impression en région parisienne. » RÉACTIVITÉ ET QUALITÉ Il faut dire que Cadoa abrite l’un des parcs machines d’impression numérique les plus imposants du marché. Forte de cet équipement, la direction de Cadoa revendique « une capacité d’impression de 10 000 sacs par jour ». Afin de conserver toute son efficacité et de varier les techniques de marquage, Cadoa n’a jamais cessé d’investir dans des machines, même au plus fort de la crise sanitaire. Au cours des derniers mois, une solution de gravure laser et des brodeuses ont ainsi étoffé le parc, faisant suite à l’intégration d’une imprimante DTF. En amont de la phase de production, un site Internet revu en 2023 a également permis de gagner un temps précieux. Les stocks sont désormais affichés en temps réel sur l’ensemble des références commercialisées par Cadoa et les revendeurs peuvent y découvrir immédiatement les prix selon les options sélectionnées. Une manière d’accélérer le traitement des commandes par le service clients du fournisseur. Cadoa met un point d’honneur à créer et entretenir une relation étroite avec ses partenaires. L’entreprise intègre une équipe de conseillers à taille humaine, qui, grâce à leur expertise, prennent le temps de détailler les techniques de marquage adaptées à chaque
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...6 mai 2024 09:47 - C!Mag
La jeune entreprise de la région grenobloise n’en finit plus de grandir. Il y a quelques mois, elle s’est équipée de machines UV DTF (Direct-to-Film) afin répondre aux besoins de ses clients dans l’objet. La direction ne cache pas son ambition : l’objectif est de devenir le leader du transfert DTF en Europe. Depuis son lancement en 2020, PrintMyDTF, spécialiste de l’impression de planches de transfert DTF basé à Saint-Martin-Le-Vinoux (38), connaît un développement exponentiel. « On est en croissance tous les mois ou presque depuis notre lancement et on recrute régulièrement. Cette bonne dynamique s’est d’ailleurs confirmée sur le salon C!Print, en février dernier, avec un afflux conséquent sur notre stand. Notre offre crée de l’intérêt », se félicite Axel Bouthors, co-fondateur de PrintMyDTF. Sur le salon C!Print, justement, l’entreprise a eu l’opportunité de présenter les applications rendues possibles par sa dernière acquisition : une solution d’impression UV DTF, la dernière technique de marquage à la mode. « Étant relativement récente, cette technologie est encore assez méconnue, poursuit le dirigeant. Peu de personnes ont réalisé à quel point elle ouvrait de formidables possibilités pour la personnalisation d’objets. » UNE PETITE RÉVOLUTION ? Il faut dire que l’UV DTF concentre de nombreux atouts : pose à froid et sans équipement, impression en couleurs (CMJN), marquage sans contour, finesse de trait jusqu’à 1 mm et adaptation à divers supports lisses et durs (métal, verre, céramique, etc.). « C’est la seule technologie permettant de marquer, avec précision et sans équipement, des objets en quadri sur de petites et moyennes quantités. Les productions se posent comme un adhésif et il n’y a pas besoin d’échenillage. C’est simple, rapide et qualitatif », affirme Axel Bouthors. Si l’UV DTF répond à de nombreux besoins, cette technologie n’est pas exempte de quelques limites. Les matières poreuses résistent encore, par exemple. L’INTERNATIONAL DANS LE VISEUR PrintMyDTF a dévoilé son offre UV DTF fin 2023. Mais cela fait plus d’un an que le service R&D de l’entreprise planche sur le sujet, en important en direct des machines depuis l’Asie. Les tests ont été nombreux avant de parvenir à un rendu suffisamment qualitatif pour commercialiser l’offre. « Il était hors de question de se lancer sans maîtriser l’ensemble des paramètres des machines. Nos clients attendent de la fiabilité, de la stabilité et de la productivité. C’est désormais chose faite », précise Axel Bouthors. La preuve en est, quelques mois seulement après le lancement de l’offre UV DTF, la demande est
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...3 mai 2024 11:25 - C!Mag
Par CÉCILE FOUGEROUSE, co-fondatrice de DREAM ACT PRO La société Lemahieu incarne la ténacité et la résilience de l’industrie textile française. Fondée il y a 75 ans avec une vision claire – fabriquer des vêtements respectueux de l’environnement et des travailleurs -, l’entreprise a su maintenir ses engagements malgré les vents contraires de l’économie moderne. Dotée d’une chaîne de fabrication intégrée récemment modernisée, Lemahieu s’est engagée à favoriser l’emploi local et inclusif, contribuant ainsi au développement économique de son territoire. Et pourtant, la société est aujourd’hui en mode survie. Faire face aux difficultés Car l’industrie textile française est confrontée à des défis de taille. Selon les données de l’Insee, elle représente aujourd’hui seulement 2 % de la valeur ajoutée de l’industrie manufacturière en France et elle emploie 103 000 salariés. Depuis deux décennies, elle a subi une baisse significative de ses effectifs et de sa production, perdant les deux tiers de ses employés et plus de la moitié de sa production. Lemahieu fait face à ces défis de front. Ce fleuron a massivement investi pour moderniser son outil industriel, mais a accusé une baisse de 30 % de son chiffre d’affaires ces dernières années. Dotée d’une centaine de collaborateurs et d’une chaîne de fabrication intégrée, elle continue à se battre pour produire localement et favoriser l’emploi sur son territoire. Une main tendue par notre marché Dans le TGV pour me rendre au salon CTCO, je suis tombée sur un post LinkedIn de Jules Petras, journaliste engagé, mentionnant les grandes difficultés de Lemahieu. Cette histoire m’a évidemment touchée. J’ai immédiatement contacté Martin Breuvart, président de Lemahieu, pour lui rappeler que notre marché avait besoin d’acteurs engagés comme lui. Dès le lendemain matin, Rodolphe Jaquet (Vestiaire Français/Citizen Green) et François Deunf (Bonjour François) ont accueilli les représentants de Lemahieu sur leur stand au CTCO pour leur faire découvrir notre secteur et ouvrir leur carnet d’adresses. Je ne doute pas qu’ils s’apporteront beaucoup mutuellement ! À l’échelle de Dream Act En rentrant au bureau, l’un de mes clients a accepté de modifier sa commande pour aider cette entreprise. Ils ont fait le choix de changer leur demande et de privilégier le made in France pour un tee-shirt destiné à une prestigieuse base aérienne française. Un bel exemple qui souligne à quel point notre secteur d’activité possède un réel pouvoir pour accompagner, aider et mettre en valeur notre tissu industriel. En tant qu’acteurs, nous avons
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